L'équipe administrative
Romina Sol CATANZARO
Cofondatrice
Directrice académique et artistique
Stéphanie PLATERO : Adjointe Administrative
Benoît CÔTÉ: Assistant administratif
Onil LARRIVÉE : Consultant – services financiers
Le conseil d'administration
L’Académie des Beaux-Arts de Montréal est un organisme à but non lucratif et de bienfaisance dirigé par un conseil d’administration constitué des personnes suivantes :
Romina Sol CATANZARO : Présidente
Thérèse PERRAS : Administrateur
Hélène LECOMPTE : Administrateur
Réal MARCHESSEAULT : Administrateur
Patricia RICHARD : Administrateur
Florence LEFRANÇOIS : Secrétaire
Les professeurs

Romina Sol Catanzaro
Née en Argentine, Romina commence ses études à l’adolescence, avec Marcela Parks, Francisco Freixas et Bârbara Wullman.
De 1996 à 2003, elle réalise des études formelles de peinture et de sculpture à l’école des Beaux Arts Prilidiano Pueyrredon, et de scénographie à l’École Supérieure de la Cárcova, à Buenos Aires, Argentine. Elle étudie avec des artistes de renom tel que Norberto Pagano, Ricardo Blaseotto, Guillermo Cuello et Armando Sapia.
De plus, dans les premières années de sa carrière, elle approfondit les fondements de sa propre esthétique au studio de l’écrivain argentin Alberto Muñoz, à Buenos Aires.
En 2003, elle immigre avec sa famille au Canada. Par la suite, elle participe à plusieurs expositions collectives. Elle fait des études de scénarisation cinématographique à l’UQAM, et de dessin animé au Collège de Bois de Boulogne.
À compter de 2006, elle travaille, comme professeure de dessin, peinture et BD, dans différents endroits consacrés à l’art figuratif à Montréal. En 2012, elle ouvre l’atelier Eccyclème dédié à l’enseignement de l’art réaliste.
En 2014, elle cofonde, avec Achilles Kouamé et Christine Viens, l’Académie des beaux-arts de Montréal. Outre l’enseignement, elle y assume la direction académique, le développement des programmes de dessin, peinture et sculpture ainsi que la conception des installations visuelles et de la scénographie.
Depuis 2007, élément fondamental dans son parcours, elle oriente ses intérêts vers le langage classique de la peinture occidentale et entretient des liens avec le mouvement réaliste classique, consolidé aux États-Unis vers les années 2000. Sa pratique artistique en atelier et son enseignement en sont fortement imprégnés.
Cet instant sûr, mais presque intangible, dans lequel la beauté converge avec les cordes sensibles de chacun; cet instant est celui que je poursuis invariablement.
De nos jours, choisir la carrière d’artiste visuelle oblige à prendre position par rapport au problème qui concerne la peinture depuis plus d’un siècle, celui de la représentation.
Dans ce sens, la peinture classique est pour moi une expérience émotionnelle qui n’a pas de pareil : concevoir une œuvre productrice de sens, déterminée par un contexte historique spécifique, en passant par son mécanisme de gestation et en utilisant tous ses moyens de séduction pour y arriver.
Pour ce faire, je me sers de tous les outils que l’art figuratif réaliste offre : le sujet, et sa capacité symbolique et émotive. Ce langage me permet d’aborder et déployer l’ensemble des sens qu’un univers complexe peut comporter.
«La mission que je me donne en tant qu’artiste est celle d’élaborer une réalité possible, conçue comme une porte qui s’ouvre à l’évidence de la seule certitude possible : celle d’être vivants.»

Eberhard Froehlich
Né au New Jersey de parents allemands, Eberhard Froehlich a étudié en Europe et aux États-Unis. Il dessinait constamment. Il a étudié la peinture avec Randall Exon au Swarthmore College en Pennsylvanie où il a obtenu un baccalauréat ès arts en Studio Art en 1986. En peu de temps, Eberhard Froehlich a commencé à exposer son travail en Allemagne et aux États-Unis tout en développant ses compétences en peinture à l’huile, aquarelle, gravure, et sculpture. En 1997, il s’est inscrit à la Graduate School of Figurative art d’art de la New York Academy pour approfondir sa compréhension de l’anatomie et de la peinture classique. Après avoir obtenu un Master of Fine Arts en peinture en 1999, Eberhard Froehlich a enseigné le dessin et la peinture figurative dans les collèges et les universités de Baltimore pendant six ans. En 2012 il s’est installé à Montréal, où il travaille et expose comme peintre de plein-air, de paysage et de figure humaine.
Pour Eberhard Froehlich d’autres questions importantes contribuent au défi de faire des dessins et des peintures signifiantes: Quels facteurs conduisent à l’harmonie et à l’unité d’une œuvre ? Quelle logique sous-tend l’apparence de la couleur ? Comment peut-on appliquer cette logique à la matière de la peinture ? Qu’est-ce qu’une couleur expressive ? Comment créer une sensation d’air et d’espace dans une peinture ? Sur quoi mettre l’emphase pour rendre les figures humaines plus convaincantes? Comment montrer le mouvement? Dans ses cours, Eberhard Froehlich s’emploie à répondre à ces questions s’assurant que tous les élèves puissent travailler dans l’atteinte de leurs objectifs personnels, en tant qu’artistes et en tant qu’êtres humains.
Eberhard Froehlich aime enseigner le dessin et la peinture, car cela lui permet de partager son amour des gens et du monde. Dans son enseignement, il met l’accent sur la compréhension visuelle et structurelle, puisque ces aspects sont communs à tous.
Les œuvres d’Eberhard Froehlich se trouvent dans des collections publiques et privées au Canada, aux États-Unis et en Allemagne.

Gianni Giuliano
Influencé autant par les grands maîtres italiens, l’École de Londres que par ses contemporains Mark Tansey, Michaël Borremans et Neo Rausch, Gianni Giuliano s’inscrit dans la grande tradition du classicisme revisitée par la figuration réaliste contemporaine.
Giuliano est un exemple d’artiste autodidacte du réalisme, trop souvent négligé dans les institutions universitaires au profit d’un enseignement théorique. Il est un fervent défenseur de l’enseignement des savoir-faire, aujourd’hui il partage ses connaissances avec ses élèves pour approfondir le savoir-faire technique du dessin et de la peinture.
Son travail ne se réduit pas à un strict académisme. Il explore les combles et les marges de l’image – ses pouvoirs, mais ses impuissances aussi – au moyen de la représentation de personnages qu’il met en scène dans des situations indéterminées, voire incongrues. L’étrangeté sur fond de réalisme, qui en ressort, engendre un regard intrigué et circonspect, qui dispose à l’introspection.
Artiste peintre, l’Italo-Canadien Gianni Giuliano vit et travaille à Montréal. En 1998, il a complété un baccalauréat en beaux-arts (peinture et dessin) avec distinction à l’Université Concordia. Il détient une maîtrise en Arts (peinture) de l’Université du Québec à Montréal depuis 2014. Il est récipiendaire de plusieurs prix, notamment la prestigieuse bourse de la Fondation Elizabeth Greenshields à deux reprises. Plus récemment, il est le gagnant de la 6e édition du concours Brush Off en 2017 et a été sélectionné pour le concours La Série Bombay Sapphire Artisan en 2016 et 2018. Ses œuvres figurent au sein de nombreuses collections d’entreprise, de collections tant publiques que privées.
« La grande tradition du classicisme revisitée par la figuration réaliste contemporaine. »

Marie-Annabelle Hébert
Marie-Annebelle Hébert a, dès l’enfance, trouvé dans l’art un espace ludique où le dessin est devenu son mode d’expression privilégié.
Après l’obtention d’un diplôme + Art et culture du Collège Bois de Boulogne en 2013 Marie-Annebelle poursuit des études à temps plein à l’Académie des beaux-arts de Montréal où elle se découvre aussi un intérêt pour le portrait et le paysage et les multiples possibilités qu’offre la peinture. Elle y devient progressivement assistante professeure puis, en 2018, co-professeure du cours Introduction au dessin.
Au printemps 2019, on lui confie la supervision et l’assistance des étudiants lors des séances de pratique associées au Programme intensif en figuration réaliste. Elle est maintenant également chargée de cours pour les Programmes de dessin et peinture.
Marie-Annebelle expose régulièrement ses œuvres dans différents endroits à Montréal. En 2018, elle représente l’Académie des beaux-arts de Montréal pour le Canada au concours international de dessin organisé par Femmes Leaders Mondiales de Monaco
En avril 2019, son exposition solo à la Galerie 2112 Amherst sous le thème Ruines, Faune, Flore lui vaut une mention dans le Magazine Radio in situ. Hommage poétique à la résilience écologique, cette série de dessins présente des paysages où les ruines, servent d’habitat à la faune et à la flore, reprenant leurs droits sur des territoires autrefois accaparés par l’homme.
Cette exposition a été réalisée dans le cadre d’un projet Jeunes Volontaires du gouvernement du Québec avec le soutien de l’Académie des beaux-arts de Montréal sous le mentorat de la professeure Romina Sol Catanzaro.
« Je suis fière de l’évolution de cette extraordinaire dessinatrice, devenue aujourd’hui ma collaboratrice. » Romina Sol Catanzaro
« Le dessin fait partie de ma vie depuis mon enfance. D’abord une source de jeu et un refuge, dessiner est devenu pour moi une forme de méditation. Dans la série Ruines, Faune, Flore, j’ai choisi la délicatesse du fusain pour exprimer ma préoccupation pour les questions environnementales et mon affection particulière pour les animaux sauvages.»

Irena Korosec
Née en Slovénie (ex-Yougoslavie) Irena est diplômée de l’Académie des Arts visuels de Ljubljana. Peu après l’obtention d’un Baccalauréat en beaux-arts, Peinture et Restauration, elle s’installe à Montréal où elle enseigne la peinture classique depuis 1989. Elle a notamment enseigné au Collège Dawson et à la Saidye Bronfman School of Art de 1994 à 2015.
En 2000, elle fonde l’école Bohemiarte pour s’associer ensuite à Artedea en 2015. Depuis, elle œuvre sous le nom Artedea-Bohemiarte School, une école approuvée par le Art Renwal Center. En 2020, elle décide de se spécialiser dans le programme d’apprentissage individuel des techniques des grands maîtres tout en se joignant à l’équipe de l’ACADEM pour l’enseignement de cours de dessin et peinture en réalisme classique.
Irena est récipiendaire de nombreux prix dont la Bourse Elizabeth Greenshields pour la peinture figurative (1994). Elle a aussi été maintes fois primée au Salon international du réalisme classique, Art Renewal Center (US) et par la Portrait Society of Canada dont elle est membre.
Son travail se retrouve dans de nombreuses collections publiques et privées en Europe et en Amérique du Nord.
»Créer c’est aimer. Quand on crée on est beau… et vulnérable. Et de cette place sacrée peut naître une grande œuvre d’art… »

Karim Aktouf
Karim Aktouf cumule plus de 20 ans d’expérience en ingénierie dans des entreprises internationales de télécommunications et d’informatique (HP, Ericsson). Du développement logiciel “full stack” à la solution et à l’architecture d’entreprise, la nature créative de son travail l’a poussé à poursuivre dans cette voie. Il a ensuite, avec des groupes de stratégie et d’innovation, dirigé des équipes d’intervention spéciales interdisciplinaires afin d’apporter des solutions créatives à des problèmes complexes.
Diriger une équipe chargée d’élaborer le nouveau cadre de leadership stratégique du groupe de stratégie d’Ericsson l’a naturellement amené à effectuer des recherches approfondies dans le domaine de la créativité.
Karim a animé des ateliers créatifs pour des groupes de recherche et de stratégie, ainsi que pour des professeurs d’université. Il enseigne également l’Art de la créativité dans le cadre des Services aux Étudiants de l’Université de Montréal. Karim est aussi responsable de la recherche et du développement de contenu ainsi que maître d’atelier à la Factry, l’école des sciences de la créativité.
Karim est également artiste. Passionné par les beaux-arts et la modélisation 3D. Étudiant avancé à l’Académie des Beaux-arts de Montréal, il s’est rendu compte que le processus de création est étonnamment similaire quel que soit le domaine, et peut être enseigné et appris pourvu que l’on adopte un “Growth Mindset” tout en ayant un esprit d’éternel débutant. Il aime mélanger les genres et provoquer ou apprendre des pollinisations croisées fructueuses entre plusieurs domaines.

Lindsay Roels
Lindsay Roels détient une maîtrise en histoire de l’art de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Originaire de Belgique, elle a obtenu auparavant le baccalauréat en histoire de l’art et archéologie à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) après une carrière de 6 ans en enseignement du français.
Depuis plusieurs années, elle écrit des textes de catalogues d’expositions et signe de nombreux articles de critique d’art dans différentes revues spécialisées. Aujourd’hui, elle enseigne l’histoire de l’art à l’Académie des Beaux-Arts de Montréal et collabore à des projets rédactionnels ou éducatifs.
« L’histoire de l’art est, pour moi, un apprentissage permanent d’une forme particulière de l’écriture : on apprend à “lire” une œuvre, à comprendre une société à travers le patrimoine qu’elle a érigé, à s’intéresser à sa réception et son influence, à ouvrir des brèches… La création artistique devient alors plus intelligible et le regard n’est plus le même.
Deux aspects sont les leitmotivs de mon approche et ont par ailleurs orienté le cheminement de mes travaux : le plaisir et la découverte. C’est le génie qui m’impressionne, toute époque confondue; l’esprit visionnaire de celles et ceux qui, par un mélange d’audace et de talent pur, ont fait jaillir en leur temps de nouvelles visions du monde. »

Aayush Ash Lal
A.L Ash est un artiste visuel spécialisé dans le réalisme classique. Après avoir terminé des études universitaires en 2010, il a étudié les Beaux-arts aux États-Unis, en Espagne et en Italie avant de revenir s’établir à Montréal.
Il a suivi une variété de cours avec les artistes américains Justin Hess et Alicia Ponzio au Studio JHESS à San Francisco ainsi que des workshops avec Sadie Valeri et Felicia Forte.
De 2017 à 2019, Ash a fréquenté la Barcelona Academy of Art (BAA) et en 2020, la Florence Academy of Art à Florence.
Ash aime travailler d’après nature, construire des compositions en utilisant un mélange créatif de références de maîtres anciens et créer des figures à partir de l’imagination. Il affectionne aussi la peinture de plein air.
« Des normes élevées de dessin et d’observation sont intrinsèques à la réalisation d’œuvres réalistes de bon niveau. Dans cette entreprise, il n’y a pas de chemin facile. Pour consacrer une partie de sa vie à la recherche de la vérité et de la beauté, nous devons inlassablement pratiquer, étudier et expérimenter dans notre interprétation de la réalité observable.
Sans une connexion profonde entre l’esprit, l’œil et la main, nous sommes limités dans nos progrès. Permettre l’expression de l’observable dans son propre langage artistique, sans trop de réflexion ni d’hésitation, n’est possible que si l’on sait vraiment dessiner. »

Robert Pietrantonio
Né à Montréal, Robert commence à dessiner dès son enfance. Au début de la vingtaine, il poursuit ses études d’art classique à l’Atelier de Minneapolis, Minnesota. Il étudie ensuite avec des artistes de formation classique à Chicago et à Boston. Il poursuit sa formation en se rendant à Florence où il étudie les maîtres anciens. Pendant ce temps, il voyage également en France, étudiant les grands peintres académiques et impressionnistes.
Après son séjour artistique en Europe, Robert embauche des modèles dans son atelier et dessine et peint ses sujets par observation. C’est à cette époque qu’il fait beaucoup de progrès et remporte la prestigieuse bourse de la fondation Elizabeth Greenshields pour les artistes réalistes. Afin de perfectionner son art, Robert suit de nombreux ateliers avec des artistes tels que le regretté maître portraitiste Daniel E. Greene et des réalistes contemporains tels qu’Anthony Ryder et Colleen Barry.
Robert enseigne l’art depuis plus de 11 ans. « Quand il s’agit d’enseigner aux étudiants comment dessiner et peindre, j’essaie de transmettre les techniques que j’ai apprises afin d’observer et transcrire le monde visible sur papier, ou sur toile, sans gêner le style personnel ou la voix de chacun».
En tant qu’artiste, Robert s’efforce de combiner un dessin précis avec une manière impressionniste d’observer et de voir les valeurs et les couleurs dans leur ensemble. Il se spécialise dans les portraits, mais aime aussi dessiner et peindre des natures mortes, des paysages et des personnages.

Fabrice Grimard
Fabrice Grimard est un artiste figuratif originaire du Québec. Il a obtenu deux
bourses d’études afin d’étudier au prestigieux Grand Central Atelier (GCA), où il a eu
la chance de côtoyer et d’étudier avec des artistes renommés tels que Jacob Collins,
Colleen Barry, Jessica Artman ou encore Edward Minoff.
Sa passion pour l’art figuratif du 18ème et 19ème siècle ainsi que la peinture de plein-air se reflète dans son travail. Fabrice Grimard a également étudié à l’Académie des Beaux-Arts de Montréal où il a acquis une base solide et une technique rigoureuse sur laquelle il a pu développer son savoir-faire en art académique .
Aujourd’hui, son dévouement à l’art se poursuit dans son rôle d’enseignant à l’Académie des Beaux-Arts de Montréal où il offre un enseignement pratique et franc.

Florentine Bonnaud
Florentine Bonnaud a débuté son parcours artistique à l’ACADEM, où elle a aquis une base technique solide sur une période de trois ans.
Elle a par la suite obtenu une bourse d’études au Grand Central Atelier (GCA), où elle reçoit actuellement l’enseignement d’artistes renommés tels que Jacob Collins, Colleen Barry, Edward Minoff et Anthony Baus.

Maria Teresa Hincapie Yepes
Maria Teresa Hincapie est une Artiste multidisciplinaire qui est née à Medellín, Colombie. Elle a reçu son diplôma en Arts Visuels de la Universidad Nacional de Colombia et en design textile au Centre D’impression Textile de Montréal. Elle a fait une année d’études a l’Université de Concordia dans un cadre d’échange d’étudiant à Montréal Québec où elle a étudié la peinture, la gravure et les arts électroniques. Depuis 2008, elle vit à Montréal.
Son travail artistique comprend surtout de la peinture acrylique, des impressions en sérigraphie, et numériques, des motifs en répétition et des illustrations. D’ordinaire, elle travaille le textile et le papier. Quotidiennement, elle aime explorer avec la matérialité de la couleur et l’exercice de dessiner des espaces architecturaux, ses souvenirs d’enfance, ses rêves et les personnages qui les habitent.

Démie Lecompte
Démie Lecompte – qui utilise parfois le nom de plume Demie Lune – est une artiste multidisciplinaire, qui a grandi et vit toujours aujourd’hui dans la région de la Montérégie, près de Montréal.
Elle a commencé à dessiner sitôt qu’elle a su tenir un crayon et elle a écrit des histoires illustrées dès qu’elle a su écrire. Depuis l’âge de neuf ans, elle rêve de scénariser et réaliser des films d’animation.
Démie a fait le Cégep en arts plastiques en 1995-98, puis une formation intensive en animation 3D pour le cinéma et le jeu vidéo en 1999. En 2016-19, elle reprend des études artistiques, avec des cours de dessin traditionnel selon la méthode des grands maîtres, à l’Académie des Beaux-Arts de Montréal (ACADEM). Puis, en 2017-18, des cours intensifs sur trois semestres pour approfondir ses connaissances en peinture numérique. Depuis 2022, Démie est diplômée de l’INIS en scénarisation de long métrage. Elle poursuit son rêve de scénariser et réaliser pour le le cinéma ou la série animés.
En dehors de l’écriture ou des projets d’animation, le dessin de personnage, de figure humaine et animale, les études anatomiques et les illustrations narratives sont au cœur de ses démarches artistiques.

Yuna Amand
Yuna Amand est une artiste visuelle française. Elle vit et travaille au Canada depuis près de quatre ans. Formée dans les écoles d’art françaises et à l’Université (notamment à l’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne et à l’université de Rennes 2), elle enseigne le dessin et le design graphique depuis 2005. Elle expose régulièrement en Europe et au Québec. Son travail évolue autour du dessin, de la sérigraphie et des dispositifs lumineux et/ou sonores. Son travail artistique a été récompensé par des acquisitions publiques et privées, ainsi que par des subventions publiques françaises. Elle est actuellement membre de l’Atelier Circulaire à Montréal. Son travail est également relayé dans le réseau Documents D’Artistes Bretagne. https://ddabretagne.org/fr/
Soucieuse de l’apprentissage de ses élèves, elle les accompagne dans une recherche plastique alternant base du dessin traditionnel et exploration plastique. Convaincue que l’autonomie dépasse l’enseignement des fondamentaux (dessin et histoire de l’art), elle rejoint l’ACADEM afin de donner à ses élèves la possibilité d’approfondir ces notions et les guider dans leur démarche personnelle.

Frédérick Bellavance
Ayant pratiqué le dessin depuis un très jeune âge, je n’ai commencé à l’étudier sérieusement qu’en 2016.
Influencé par le mouvement émergent des ateliers et la résurrection des techniques classiques, j’ai dévoré tout le contenu offert par les artistes et les professeurs qui m’inspirent. J’ai suivi les enseignements de Jeffrey R. Watts, Ben M. Young, Erik Gist, Stephen Bauman, Richard Schmid, Iliya Mirochnik, Dan Thompson, et j’en oublie, pour ensuite mettre en pratique les connaissances acquises lors d’ateliers libres de modèle vivant.
Je ne me qualifie pas d’artiste, mais plutôt d’éternel étudiant, de théoricien de la science du dessin et de l’art représentatif. Je suis toujours et serai toujours dans ce voyage sans destination, et je crois que mon parcours m’a apporté des compétences pédagogiques qui me permettront de vous transmettre ma passion.